Renouvellement de l’accord pour La PARTICIPATION : La proposition de l’UNSA est adoptée par tous les syndicats et par KORIAN
Tous les syndicats ainsi que l’employeur étaient réunis en négociation pour renouveler l’accord sur la Participation. La Participation est un élément financier attendu et particulièrement apprécié par tous les salariés de l’entreprise. L’UNSA Korian a donc voulu défendre les intérêts de tous les salariés et sa proposition a été retenue par toutes les organisations syndicales et par l’employeur KORIAN.
Petit rappel des critères de répartition actuels
La répartition de l’enveloppe globale de la Participation se fait grâce à des critères de répartition.
Ces critères de répartition peuvent être négociés et jusqu’à aujourd’hui nous étions sur la règle du 50 / 50 :
L’UNSA KORIAN était favorable à cette répartition car elle permettait d’équilibrer le calcul sur le salaire et la présence. En cas d’absence pour longue maladie, le salarié était moins pénalisé.
Ce que voulaient les autres syndicats
Les autres syndicats présents autour de la table souhaitaient la règle du 70 / 30 :
L’UNSA Korian s’est opposé, en l’état, à cette répartition car elle pénalise les salariés qui sont obligés de s’absenter pour de longues maladies. L’UNSA Korian estime en effet que ce n’est pas juste pour ces salariés et cela rajoute de la peine à la douleur.
La proposition de l’UNSA qui a fait l’unanimité !
Pour ne pénaliser personne avec l’application de cette règle du 70 / 30 que voulaient les autres syndicats, l’UNSA Korian a conditionné son accord à une augmentation de l’enveloppe de la Participation.
Ainsi, grâce à l’UNSA Korian, le plafond est passé de 11 millions à 13 millions d’€uro.
Avec cette proposition, il n’y aura pas de salariés perdants contrairement à ce que voulaient valider les autres syndicats !
En effet, les salariés qui seront présents toute l’année toucheront plus de Participation et les salariés qui seront en longue maladie verront leur montant préservé.
Ces nouveaux critères de répartition seront valables à compter de l’année prochaine, à condition bien évidemment que l’entreprise fasse des bénéfices.